Festival GÉNÉRIQ du 14 au 19 février en Bourgogne-Franche-Comté

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Le festival GÉNÉRIQ revient pour la 10e édition dans la grande région Bourgogne-Franche-Comté, du 14 au 19 février 2017.

Le concept ? Amener les musiques populaires au coeur des villes, en faisant re-découvrir les espaces urbains.

Avec des artistes reconnus de la scène internationale, mais aussi locale et des animations en extéreur à Besançon, Mulhouse, Belfort, Dijon, Ronchamp et ainsi qu’à Montbéliard.

Le complexe de salles de concerts est bien organisé, avec pas loin de 38 lieux en plein air ou intérieurs, aménagés spécialement pour l’évènement !

6 jours de concerts, de nombreuses scènes, 53 groupes ou artistes, 51 tumultes musicaux, 50 rendez-vous (21 gratuits) ! Bien assez pour passer une semaine de folie !

Découvrez ci-dessous la présentation ville par ville, des lieux et des artistes qui s’y produiront dans quelques jours !

Et juste avant, pour les bisontins, voici un résumé sympathique, en vidéo :

BESANÇON

Mercredi 15 Février

  • Júníus Meyvant, 18h00 : Les Bains Douches : GRATUIT

Un Islandais au style plutôt Indie Soul qui vous fera vibrer avec ses musiques.

  • An Pierlé, 20h30 : Cathédrale Saint Jean : 9 à 15 €

Un son pop créé avec un véritable orgue d’église accordé à la perfection.

  • Charlie Cunningham, 20h30 à la suite de An Pierlé.

La synthèse entre un héritage folk anglosaxon indéniable et un pèlerinage en Andalousie. On ne peut qu’être séduit par le résultat métissé, nostalgique et ensoleillé.

Jeudi 16 Février

  • Shame, 20h30 : FJT les Oiseaux : 3 à 6 € (Gratuit avec le coupon carte avantage jeunes)

Les Anglais de Shame développent un post punk nonchalant dans la plus pure tradition british. Le premier single, « Lick », introduction à l’univers des Anglais, n’est que le premier étage d’une fusée qui risque de décoller très rapidement.

  • King Mud, 21h30 : Bar de l’U : 3 à 6 €

Duo composé par Freddy J IV (Left Lane Cruiser) et Van Campbell (Black Diamond Heavies), King Mud fait un rock & roll qui sent le Bourbon, la boue et le sud des EtatsUnis. Ça vous plante un beau décor.

  • HMLTD, 23h00 : Les passagers du Zinc : 5 à 8 €

Connu également sous le nom de Happy Meal Limited, les Anglais de HMLTD sont obsédés par la bidoche. À part ça, leur style est bien difficilement descriptible : du post-punk dans la voix, des riffs de guitares glamrock, des machines et des beats électroniques et un univers dingue.

  • Pogo Car Crash Control, 23h00 à la suite de HMLTD.

Pogo Car Crash Control, c’est une voiture lancée à toute berzingue avec un conducteur aux yeux bandés qui manque de t’envoyer dans le décor à tout moment. Les Français balancent du gros riff garage lorgnant même parfois sur le hardcore. Pédale fuzz enfoncée au max.

Vendredi 17 Février

  • SYMPATHETIC MAGIC, 20h30 : Centre Dramatique National : 9 à 15 €

L’aventure audacieuse entre musique et danse portée par VIADANSE, le Centre Chorégraphique National de Franche-Comté à Belfort à l’occasion de la sortie du 4ème album de Peter Von Poehl. Cette création, que vous pourrez découvrir en premier dans le cadre du festival cette année (hashtag exclu), s’appuie sur deux danseurs (Héla Fattoumi, Éric Lamoureux) ainsi que l’artiste pop suédois Peter Von Poehl et ses musiciens. Un spectacle tout en scintillement et étoiles dans les yeux, fragile et puissant, à la croisée des genres entre chorégraphie et musique pop.

  • Møme, 22h00 : La Rodia : 9 à 15 €

Møme est un projet né en 2014, créé par un producteur et compositeur français, Jérémy Souillart, qui a transformé son van en studio mobile pour sillonner les routes australiennes. En résulte un EP emprunt de voyage, de grands espaces et de rencontres artistiques fédératrices pour l’artiste.

  • GRiZ, 22h00 à la suite de Møme

Ce DJ et producteur américain se trimballe toujours avec son saxophone et ses beats électrofunk, gentiment hiphop. Les puristes diront même : funktronica. Après avoir squatté les festivals US, il repart à l’assaut de l’Europe et c’est à GéNéRiQ qu’on le retrouvera notamment, coiffé de sa casquette et accompagné de son sax’ bien sûr.

  • Blow, 22h00 à la suite de GRiZ.

Blow, c’est au départ le projet d’un seul homme, Quentin Guglielmi qui invente ce groupe comme une synthèse de ses expériences musicales passées. Ce projet solo est vite rejoint par son ami d’enfance à la guitare et par un ancien acolyte musical. Blow se façonne et mute alors vers une électropop midtempo.

  • El Otro Grupo, 22h00 à la suite de Blow.

Si vous pensez que l’on ne peut pas faire de la bonne pop chantée en espagnol, vous ne connaissez sans doute pas El Otro Grupo. Ce trio colombien nous prend par la main pour nous emmener sur les chemins de la pop, avec un accent espagnol du plus bel effet. Ajoutez-y quelques sons électriques et des effets supersoniques, et vous aurez une vision claire d’un groupe qui nous réchauffera dans la torpeur de l’hiver.

  • Dan San, 22h00 à la suite de El Otro.

Digne représentant de la scène indie folk belge, Dan San est de retour dans le jeu avec un nouvel album « Shelter« , mis en boîte par Yann Arnaud, déjà reconnu pour son travail avec Phœnix, Air et Syd Matters. En résulte un son authentique, organique, astral. Une musique qui pourrait être faite pour les films, pop et aérienne à la fois, où les guitares, pianos et violons s’entremêlent.

Samedi 18 Février

  • Bayonne, 18h30 : Le Scénacle : 5 €

Bayonne, c’est un artiste possédé par sa propre musique. Pour ceux qui l’ont déjà vu en Live ou sur les Internets, on le voit évoluer comme un funambule entre sampler, micros, machines, éléments de batterie… Bayonne crée un univers sonore complexe, comme le seul maître à bord d’un groupe où il représente toutes les entités.

  • Warhaus, 20h30 : Le Scénacle : 2 à 5 €

Martin Devoldere, chanteur et compositeur du groupe Balthazar, s’éloigne de la pop ensoleillée de son vaisseau amiral pour marcher sur un versant plus sombre en solo.

  • Paradis, 21h00 : La Rodia : 9 à 15 €

Aujourd’hui, les boys de Paradis et leur premier album Recto Verso ont le monde à leurs pieds, tous amoureux de cette électropop élégante et romantique, chantée en français.

  • Goose, 21h00 à la suite de Paradis.

Les mecs de Goose n’ont qu’un seul objectif dans la vie : faire danser les gens dans des concerts fous avec les murs qui tremblent et la sueur qui coule du plafond. Ils font ça depuis 2006 et le classique album « Bring it on ». Combo rock électronique, Goose continue sa route au fil des années, sans se poser trop de questions.

  • Kite Base, 21h00 à la suite de Goose.

Kite Base est un des points de départ de l’origami, un mouvement d’ouverture qui sera la base des différents pliages ; la genèse d’une inspiration, d’un pliage simple ou complexe, basé sur l’imagination de son créateur. Ceci étant dit, on peut aisément comprendre le choix du nom du projet parallèle de la bassiste du groupe Savages.

  • Shock Machine, 21h00 à la suite de Kite Base.

Shock Machine est le nouveau projet de James Righton. Si vous êtes branché sur les sites people, vous savez déjà qu’il est marié à Keira Knightley et qu’il est l’ancien leader des Klaxons, mais est-ce bien le plus important ? Il revient avec un projet neuf à la croisée de son ancien groupe et de Tame Impala.

  • SANDOR, 21h00 à la suite de Shock Machine.

Tu te rappelles de la Suisse romande, cette chaîne de télé qui nous faisait tellement peu plaisir dans les années 80 ? Et bien Sandor vient justement de cette région et nous promet un programme bien plus alléchant. Entre synthwave et électro pop, l’artiste suisse à la voix gutturale nous raconte ses histoires, accompagné de synthés, basses et pad, un peu comme si les années 80 se réveillaient en 2016.

Dimanche 19 Février

  • Pick’O’Rama par Mamoot, 15h00 : La Rodia : 5 à 7 €

Les 4 musiciens de Mamoot nous embarque dans un concert audiovisuel et une expérience sensas’ offerte aux petits spectateurs. Une balade sonore dans les sous-sols de New-York, Seattle ou Manchester. Pourquoi faire ? Pour découvrir le rock indé et son univers.

MULHOUSE

Jeudi 16 Février

  • Bernardino Femminielli, 18h30 : Salle des adjudications : GRATUIT

Bernardino Femminielli, c’est la croisée des chemins entre Georgio Moroder et Serge Gainsbourg. Une voix susurrée, des paroles volontairement sexuelles sur un son délicieusement italodisco.

  • Lambchop, 20h00 : Temple Saint-Etienne : 10 à 18 €

Lambchop est un groupe originaire de Nashville, Tennessee. Rattaché par défaut à la country, le groupe à géométrie variable, est bien plus que cela. Entre la pop, la folk, la country, le reggae, Lambchop est une étoile filante dirigée par la superbe voix de son leader, Kurt Wagner.

  • El Otro Grupo, 20h00 à la suite de Lambchop.

Si vous pensez que l’on ne peut pas faire de la bonne pop chantée en espagnol, vous ne connaissez sans doute pas El Otro Grupo. Ce trio colombien nous prend par la main pour nous emmener sur les chemins de la pop, avec un accent espagnol du plus bel effet. Ajoutez-y quelques sons électriques et des effets supersoniques, et vous aurez une vision claire d’un groupe qui nous réchauffera dans la torpeur de l’hiver.

Vendredi 17 Février

  • Charlie Cunningham, 18h00 : Bibliothèque Centrale : GRATUIT

La synthèse entre un héritage folk anglosaxon indéniable et un pèlerinage en Andalousie. On ne peut qu’être séduit par le résultat métissé, nostalgique, et ensoleillé.

  • Ropoporose, 19h00 : Gambrinus : GRATUIT

Derrière ce nom mystérieux se trouve un duo composé d’un frère et d’une sœur. Ils évoluent seuls sur scène même si la pléthore d’effets et de boucles utilisés pourrait faire penser le contraire. Le résultat : une pop bricolée et rêveuse que l’on ne peut pas vraiment classer dans un sous-genre trop étriqué.

  • Broken Back, 20h30 : Le Noumatrouff : 10 à 18 €

Originaire de Saint-Malo, Broken Back navigue entre électro joyeuse et folk mélancolique, avec toujours un peu de guitare pas loin parce qu’il aime ça. Succès grandissant et déjà international, Broken Back est autant taillé pour les gros festivals que les lieux intimistes.

  • Adam Naas, 20h30 à la suite de Broken Back.

Quand on écoute Adam Naas, on ne peut être qu’étonné par le côté épuré que dégage sa musique. Au milieu de cette plénitude, sa voix délicatement soul prend tout l’espace, de la plus simple et naturelle des façons.

  • Aurélie Emery, 20h30 à la suite de Adam Naas.

Aurélie Emery est une grande bourlingueuse qui infuse dans son folk électronique toutes les influences qu’elle a pu croiser dans le monde. Entre instruments Indiens ou d’Europe centrale (tabla, tempura, cymbalum), Aurélie Emery nous envoûte avec sa voix solaire.

  • Clara Luciani, 20h30 à la suite de Aurélie Emery.

Ancienne chanteuse au sein des groupes La Femme, Nouvelle Vague ou encore Bristol, Clara Luciani poursuit sa route en solo avec sa belle gueule, sa guitare et sa voix suave, façon Françoise Hardy. Les textes sont inspirés, les arrangements cool. À seulement 24 piges, c’est un petit diamant brut.

Samedi 18 Février

  • Abdu Ali, 18h30 : Le Greffier : GRATUIT

Abdu Ali est un rappeur queer. Derrière sa dernière mixtape « Mongo » se cache un rap multiforme allant piocher dans le funk, le groove, le punk ou encore la musique club propre à sa ville de Baltimore. Abdu Ali est un résistant, un rebelle qui se bat pour la diversité et le respect à travers sa musique.

  • Jazz Cartier, 20h00 : Le Noumatrouff : 5 à 12 €

Le nouveau petit joyau de la scène hip-hop de Toronto a un nom de bijoutier et seulement 22 balais. Look soigné, flow imparable, beats modernes, Jaye Adams aka Jazz Cartier affole les dénicheurs de nouvelles tendances alors qu’il est encore peu connu sur notre vieux continent.

  • Roméo Elvis, 20h00 à la suite de Jazz Cartier.

La scène hip-hop belge se porte à merveille. Roméo Elvis est ce jeune rappeur bruxellois de 23 ans « en mode Snoopy sympa relativement chouette et top ». Gravitant autour de ses potos de L’Or du Commun, La Smala ou Caballero, Roméo Elvis et son beatmaker Le Motel sont de sortie avec un premier EP intitulé « La Morale » qui fait pas mal de boucan.

  • Møme, 23h00 : Le Noumatrouff : 12 à 20 €

Møme est un projet né en 2014, créé par un producteur et compositeur français, Jérémy Souillart, qui a transformé son van en studio mobile pour sillonner les routes australiennes. En résulte un EP emprunt de voyage, de grands espaces et de rencontres artistiques fédératrices pour l’artiste.

  • Blow, 23h00 à la suite de Møme.

Blow, c’est au départ le projet d’un seul homme, Quentin Guglielmi qui invente ce groupe comme une synthèse de ses expériences musicales passées. Ce projet solo est vite rejoint par son ami d’enfance à la guitare et par un ancien acolyte musical. Blow se façonne et mute alors vers une électropop midtempo.

  • Joachim Pastor, 23h00 à la suite de Blow.

Le frenchy Joachim Pastor affole les clubs et les grosses scènes du monde entier. L’explication ? Une house terriblement mélodique, des vocaux catchy et une petite teinte atmosphérique bien foutue par-dessus tout ça.

  • Val du Val, 23h00 à la suite de Joachim Pastor.

Val du Val est le fruit de plusieurs années d’expérimentations musicales en France, en Suisse, sous des projets et labels divers. Son premier EP «Trianon» sorti en 2016 sur le label Parisien « La fille de l’air » navigue entre house mélodique et techno minimale.

Dimanche 19 Février

  • Kite Base, 18h : Le Séchoir : GRATUIT

Kite Base est un des points de départ de l’origami, un mouvement d’ouverture qui sera la base des différents pliages ; la genèse d’une inspiration, d’un pliage simple ou complexe, basé sur l’imagination de son créateur. Ceci étant dit, on peut aisément comprendre le choix du nom du projet parallèle de la bassiste du groupe Savages.

  • Snaabbacash, 18h00 à la suite de Kite Base.

Difficile de dire au premier abord que Snaabbacash est un groupe originaire de Belfort, et encore plus compliqué de reconnaître que la formation existe seulement depuis 2013. Les influences US sont bien évidemment présentes et bien digérées, on pense aux Black Rebel Motorcycle Club ou encore à Interpol dès la première écoute. Fort d’un premier EP sorti en 2015, le groupe avance tout droit, sans détour, sur l’autoroute du rock & roll.

BELFORT / PAYS DE MONTBÉLIARD

Mardi 14 Février

  • Patti Smith, 18h30 & 20h30 : Chapelle de Ronchamp : 30 €

La légende punk américaine donnera un concert unique en ouverture de cette 10ème édition de GéNéRiQ. Chose rare : c’est l’artiste, séduite par cet édifice remarquable, qui a contacté le festival pour pouvoir investir la chapelle de Ronchamp, haut lieu culturel, spirituel et inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco.

Mercredi 15 Février

  • El Otro Grupo, 20h00 : Est Imprim, Montbéliard : GRATUIT

Si vous pensez que l’on ne peut pas faire de la bonne pop chantée en espagnol, vous ne connaissez sans doute pas El Otro Grupo. Ce trio colombien nous prend par la main pour nous emmener sur les chemins de la pop, avec un accent espagnol du plus bel effet. Ajoutez-y quelques sons électriques et des effets supersoniques, et vous aurez une vision claire d’un groupe qui nous réchauffera dans la torpeur de l’hiver.

  • Laura Sauvage, 20h00 à la suite de El Otro Grupo.

Echappée de son projet les Hay Habies, Vivianne Roy s’écarte des sonorités folk indie et du ukulélé pour un son rock, volontairement plus sale aux accents anglophones.

Jeudi 16 Février

  • Kite Base, 18h30 : La Galerie Perrin, Montbéliard : Gratuit, sur réservation.

Kite Base est un des points de départ de l’origami, un mouvement d’ouverture qui sera la base des différents pliages ; la genèse d’une inspiration, d’un pliage simple ou complexe, basé sur l’imagination de son créateur. Ceci étant dit, on peut aisément comprendre le choix du nom du projet parallèle de la bassiste du groupe Savages.

  • SYMPATHETIC MAGIC, 18h30 : Centre Chorégraphique National, Belfort : 10€

L’aventure audacieuse entre musique et danse portée par VIADANSE, le Centre Chorégraphique National de Franche-Comté à Belfort à l’occasion de la sortie du 4ème album de Peter Von Poehl. Cette création, que vous pourrez découvrir en premier dans le cadre du festival cette année (hashtag exclu), s’appuie sur deux danseurs (Héla Fattoumi, Éric Lamoureux) ainsi que l’artiste pop suédois Peter Von Poehl et ses musiciens. Un spectacle tout en scintillement et étoiles dans les yeux, fragile et puissant, à la croisée des genres entre chorégraphie et musique pop.

  • An Pierlé, 21h00 : Cathédrale Saint-Christophe, Belfort : 12 à 18€

Un son pop crée avec une véritable orge d’église accordé à la perfection

Vendredi 17 Février

  • An Pierlé (solo), 18h00 : La Préfecture, Belfort : Gratuit, sur réservation.

An Pierlé se produira en solo à Belfort dans ce lieu atypique qu’est la préfecture pour un concert intimiste et touchant. Attention places limitées.

  • King Mud, 18h30 : The Belfort Tattoo Family, Belfort : GRATUIT

Duo composé par Freddy J IV (Left Lane Cruiser) et Van Campbell (Black Diamond Heavies), King Mud fait un rock & roll qui sent le Bourbon, la boue et le sud des EtatsUnis. Ça vous plante un beau décor.

  • Bernardino Femminielli, 19h30 : Galerie Cheloudiakoff, Belfort : GRATUIT

Bernardino Femminielli, c’est la croisée des chemins entre Georgio Moroder et Serge Gainsbourg. Une voix susurrée, des paroles volontairement sexuelles sur un son délicieusement italodisco.

  • Mesparrow, 20h30 : Le Moloco, Audincourt : GRATUIT

La talentueuse Marion Gaume alias Mesparrow revient -en français cette fois avec La jungle contemporaine, jouant toujours avec sa voix abîmée, ses respirations, quelques boucles, la pop et la musique électronique pour raconter la ville, cet espace urbain rempli de bruits insupportables et attirants à la fois.

  • Paradis, 20h30 à la suite de Mesparrow.

Aujourd’hui, les boys de Paradis et leur premier album Recto Verso ont le monde à leurs pieds, tous amoureux de cette électropop élégante et romantique, chantée en français.

  • S u r v i v e, 20h30 à la suite de Paradis.

Le groupe originaire d’Austin Texas, aurait pu carrément s’échapper de l’Area 51. Mis dans la lumière par la série Stranger Things, S u r v i v e, c’est la musique de l’espace. Installé au cockpit de son vaisseau spatial, on évolue, léthargique, dans un voyage nocturne dans l’astral.

  • Alex Cameron, 20h30 à la suite de S u r v i v e.

Le parcours d’Alex Cameron a tout d’un sentier cabossé : il aurait pu finir sa courte carrière à la Nick Drake, c’est à dire au panthéon des artistes maudits. Cependant, après un groupe passé à travers et des disques restés sous silence, l’Australien arrive à ses fins via des concerts remarqués et des rencontres importantes. Heureusement, car sa synthpop a tout d’une grande, pour paraphraser cette publicité des années 90.

Samedi 18 Février

  • Charlie Cunningham, 15h00 et 17h00 : Planétarium, Belfort : Gratuit, sur réservation.

La synthèse entre un héritage folk anglosaxon indéniable et un pèlerinage en Andalousie. On ne peut qu’être séduit par le résultat métissé, nostalgique, et ensoleillé.

  • Pogo Car Crash Control, 18h00 : Le Studio Sauvage, Étupes : Gratuit, sur réservation.

Pogo Car Crash Control, c’est une voiture lancée à toute berzingue avec un conducteur aux yeux bandés qui manque de t’envoyer dans le décor à tout moment. Les Français balancent du gros riff garage lorgnant même parfois sur le hardcore. Pédale fuzz enfoncée au max.

  • Shame, 21h00 : La Poudrière, Belfort : 7 à 13 €

Les Anglais de Shame développent un post punk nonchalant dans la plus pure tradition british. Le premier single, « Lick », introduction à l’univers des Anglais, n’est que le premier étage d’une fusée qui risque de décoller très rapidement.

  • HMLTD, 21h00 à la suite de Shame.

Connu également sous le nom de Happy Meal Limited, les Anglais de HMLTD sont obsédés par la bidoche. À part ça, leur style est bien difficilement descriptible : du post-punk dans la voix, des riffs de guitares glamrock, des machines et des beats électroniques, et un univers dingue.

  • Rats On Rafts, 21h00 à la suite de HMLTD.

Rats on Rafts commence bien souvent par une ligne de basse entêtante, bientôt rejoint par une guitare un peu dingue, puis par une voix enregistrée du fond d’une énorme boîte. Contrairement à bon nombre de groupes de post-punk qui auraient torché ça en deux minutes, les chansons durent et il ne nous reste plus qu’à dodeliner de la tête, aliéné ou sautillant, à l’écoute de ces Hollandais volants.

Dimanche 19 Février

  • Aurélie Emery, 12h30 : Le Bar Atteint, Belfort : GRATUIT

Aurélie Emery est une grande bourlingueuse qui infuse dans son folk électronique toutes les influences qu’elle a pu croiser dans le monde. Entre instruments Indiens ou d’Europe centrale (tabla, tempura, cymbalum), Aurélie Emery nous envoûte avec sa voix solaire.

  • SANDOR, 12h30 à la suite de Aurélie Emery

Tu te rappelles de la Suisse romande, cette chaîne de télé qui nous faisait tellement peu plaisir dans les années 80 ? Et bien Sandor vient justement de cette région et nous promet un programme bien plus alléchant. Entre synthwave et électro pop, l’artiste suisse à la voix gutturale nous raconte ses histoires, accompagné de synthés, basses et pad, un peu comme si les années 80 se réveillaient en 2016.

  • Holy Two, 16h00 : Stade Bonal, Montbéliard : Gratuit, sur réservation.

Duo lyonnais, Elodie et Hadrien se sont rencontrés sur les bancs de l’école d’architecture. Rythmes, compos, couleurs, harmonies… leur électro-pop sombre et élégante nous emmène loin dans un univers évasif et les place en bonne position au rayon des « jeunes pouces à suivre de très près ».

  • The Amazons, 16h00 à la suite de Holy Two.

C’est toute guitare dehors que The Amazons nous aborde. Mais derrière une carapace (ici des guitares baveuses et un batteur qui à la main lourde), on retrouve toujours un petit cœur tout mou (les lignes mélodiques et les harmonies) qui font de ces garçons de Reading, à défaut d’être un groupe de gendres idéales, une formation qui réussit la synthèse parfaite entre l’amour et la violence.

Dijon

Mercredi 15 Février

  • SYMPATHETIC MAGIC, 20h00 : Atheneum : 5,50 à 10 €

L’aventure audacieuse entre musique et danse portée par VIADANSE, le Centre Chorégraphique National de Franche-Comté à Belfort à l’occasion de la sortie du 4ème album de Peter Von Poehl. Cette création, que vous pourrez découvrir en premier dans le cadre du festival cette année (hashtag exclu), s’appuie sur deux danseurs (Héla Fattoumi, Éric Lamoureux) ainsi que l’artiste pop suédois Peter Von Poehl et ses musiciens. Un spectacle tout en scintillement et étoiles dans les yeux, fragile et puissant, à la croisée des genres entre chorégraphie et musique pop.

Jeudi 16 Février

  • Pouvoir Magique (Mawimbi), 18h00 : La Péniche Cancale : GRATUIT

Fervents défenseurs d’une techno « chamanique », Pouvoir Magique conjugue deux temporalités : trois décennies de sonorités et plusieurs millénaires de chants et percussions du monde entier. Enivrante, intrigante, leur musique rime avec mysticisme et spiritualité. Les rythmiques martiales y trouvent tout autant leur écho dans la frénésie des rites ancestraux que dans la rigueur futuriste de la musique électronique.

  • SSCK (Mawimbi), 18h00 à la suite de Pouvoir Magique.

Co-fondateur du crew Mawimbi, le jeune SSCK est un esthète qui aime la diversité, de Four Tet à Shigeto en passant par John Roberts ou Steve Reich. Le tableau est assez simple : SSCK jouera à Dijon aux côtés de ses potes Pouvoir Magique et passera les meilleurs disques de sa collection.

  • Concert secret, 18h00 : Lieu secret : GRATUIT sur réservation à angel@lavapeur.com
  • Júníus Meyvant, 18h30 : Cellier de Clairvaux : GRATUIT

Un Islandais au style plutôt Indie Soul qui vous feras vibrer avec ces musiques

  • Amenra, 20h00 : Salle de Flore : 12 à 15 €

Amenra est une véritable confrérie baignant entre art plastique, performance, vidéo, tatouage, graphisme… sur fond de doom metal, avec une petite lampée de psyché qui fait du bien. Sauf que leur nouveau projet s’inscrit dans un show 100% acoustique afin de toucher du doigt des sensations inattendues, renforçant aussi ce côté spirituel de leur musique. Leur unique date en France.

  • Roméo Elvis, 21h00 : La Péniche Cancale : 5,50 à 8 €

La scène hip-hop belge se porte à merveille. Roméo Elvis est ce jeune rappeur bruxellois de 23 ans « en mode Snoopy sympa relativement chouette et top ». Gravitant autour de ses potos de L’Or du Commun, La Smala ou Caballero, Roméo Elvis et son beatmaker Le Motel sont de sortie avec un premier EP intitulé « La Morale » qui fait pas mal de boucan.

  • Abdu Ali, 21h00 à la suite de Roméo Elvis.

Abdu Ali est un rappeur queer. Derrière sa dernière mixtape « Mongo » se cache un rap multiforme allant piocher dans le funk, le groove, le punk ou encore la musique club propre à sa ville de Baltimore. Abdu Ali est un résistant, un rebelle qui se bat pour la diversité et le respect à travers sa musique.

Vendredi 17 Février

  • Super Parquet, 18h00 : Salle des Actes : GRATUIT

Super Parquet, c’est un peu la fête du village en Auvergne qui se transforme peu à peu en Technival dans le Larzac. On a juste à se laisser guider par l’infoline, et écouter les boucles de banjo, de cabrette, de boîtes à bourdons et autres instruments non identifiés.

  • Tonstartssbandht, 18h30 : Cellier de Clairvaux : GRATUIT

Des frangins hyper talentueux qui passent leur vie sur les routes à jouer
partout et sur n’importe quoi. Au niveau du style, c’est du stonerindiefoutraque et en live ça matraque !

  • Warhaus, 20h00 : Le Consortium : 5.50 à 15 €

Martin Devoldere, chanteur et compositeur du groupe Balthazar, s’éloigne de la pop ensoleillée de son vaisseau amiral pour marcher sur un versant plus sombre en solo.

  • Shame, 20h00 à la suite de Warhause.

Les Anglais de Shame développent un post punk nonchalant dans la plus pure tradition british. Le premier single, « Lick », introduction à l’univers des Anglais, n’est que le premier étage d’une fusée qui risque de décoller très rapidement.

  • HMLTD, 20h00 à la suite de Shame.

Connu également sous le nom de Happy Meal Limited, les Anglais de HMLTD sont obsédés par la bidoche. À part ça, leur style est bien difficilement descriptible : du post-punk dans la voix, des riffs de guitares glamrock, des machines et des beats électroniques, et un univers dingue.

  • Kite Base, 20h00 à la suite de HMLTD.

Kite Base est un des points de départ de l’origami, un mouvement d’ouverture qui sera la base des différents pliages ; la genèse d’une inspiration, d’un pliage simple ou complexe, basé sur l’imagination de son créateur. Ceci étant dit, on peut aisément comprendre le choix du nom du projet parallèle de la bassiste du groupe Savages.

  • Horskh, 21h00 : La Péniche Cancale : 5,50 à 8 €

Ce duo bisontin a clairement décidé de tout faire péter avec leur son électro, indus et metal. Ouais. Puisant dans l’EBM, mouvement belge et allemand des 80’s sur fond de monde postindustriel et punk, Horskh décline sur scène ses inspirations possédées, mélodiques et dancefloor.

  • Ølten, 21h00 à la suite de Horskh.

Un escalier de fer, un couloir étroit et obscur, au fond de ce couloir une porte entrouverte d’où nous parviennent les accords d’une musique qui en ce monde nous paraissent irréel. Cette phrase samplée dans l’album culte d’IAM, « L’école du micro d’argent », pourrait être parfaitement adaptée à Ølten tant la musique de ces trois Suisses semblent émaner du quatrième soussol d’Hadès.

Samedi 18 Février

  • Pick’O’Rama par Mamoot, 15h00 : La Minoterie : 5 €

Les 4 musiciens de Mamoot nous embarque dans un concert audiovisuel et une expérience sensas’ offerte aux petits spectateurs. Une balade sonore dans les sous-sols de New-York, Seattle ou Manchester. Pourquoi faire ? Pour découvrir le rock indé et son univers.

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  • An Pierlé, 17h30 : Temple Protestant : 5,50 à 10 €

Un son pop crée avec une véritable orge d’église accordé à la perfection.

  • King Mud, 18h30 : Cellier de Clairvaux : GRATUIT

Duo composé par Freddy J IV (Left Lane Cruiser) et Van Campbell (Black Diamond Heavies), King Mud fait un rock & roll qui sent le Bourbon, la boue et le sud des EtatsUnis. Ça vous plante un beau décor.

  • Mesparrow, 20h00 : Le Consortium : 5,50 à 15 €

La talentueuse Marion Gaume alias Mesparrow revient -en français cette fois- avec La jungle contemporaine, jouant toujours avec sa voix abîmée, ses respirations, quelques boucles, la pop et la musique électronique pour raconter la ville, cet espace urbain rempli de bruits insupportables et attirants à la fois.

  • Ropoporose, 20h00 à la suite de Mesparrow.

Derrière ce nom mystérieux se trouve un duo composé d’un frère et d’une sœur. Ils évoluent seuls sur scène même si la pléthore d’effets et de boucles utilisés pourrait faire penser le contraire. Le résultat : une pop bricolée et rêveuse que l’on ne peut pas vraiment classer dans un sous-genre trop étriqué.

  • Octave Noire, 20h00 à la suite de Ropoporose.

Une batterie, des machines, des synthés et une voix : celle de Patrick Moriceau, leader d’Octave Noire. On retrouve une passion pour les synthés analogiques dans ce projet électro pop très aérien. La voix, en français, se place dans cet océan synthétique faisant penser à Sébastien Tellier ou encore Etienne Daho. « Un nouveau monde » est l’invitation d’Octave Noire dans son univers spatial.

Dimande 19 Février

  • Paradis, 18h00 : Le Consortium : 5,50 à 15 €

Aujourd’hui, les boys de Paradis et leur premier album Recto Verso ont le monde à leurs pieds, tous amoureux de cette électropop élégante et romantique, chantée en français.

  • Andy Shauf, 18h00 à la suite de Paradis.

Touché par la grâce de Dieu, c’est ce que l’on pourrait se dire en écoutant le Canadien Andy Shauf. Cousin germain d’Elliott Smith pour ses orchestrations complexes, la musique d’Andy Shauf n’en est pas pour autant compliquée à écouter. Elle est, au contraire, un océan de douceur à traverser.

  • Alex Cameron, 18h00 à la suite de Andy Shauf.

Le parcours d’Alex Cameron a tout d’un sentier cabossé : il aurait pu finir sa courte carrière à la Nick Drake, c’est à dire au panthéon des artistes maudits. Cependant, après un groupe passé à travers et des disques restés sous silence, l’Australien arrive à ses fins via des concerts remarqués et des rencontres importantes. Heureusement, car sa synthpop a tout d’une grande, pour paraphraser cette publicité des années 90.

  • Bayonne, 16h00 : Salle des Actes : GRATUIT

Bayonne, c’est un artiste possédé par sa propre musique. Pour ceux qui l’ont déjà vu en live ou sur les Internets, on le voit évoluer comme un funambule entre sampler, micros, machines, éléments de batterie… Bayonne crée un univers sonore complexe, comme le seul maître à bord d’un groupe où il représente toutes les entités.

Plus d’infos et réservation, sur le site du festival avec toutes les animations, ainsi que les plans pour rejoindre les différents lieux.

Crédits photos : © Festival GéNéRiQ

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